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Le réveil fut difficile. Non, pire, il fut horrible. Après seulement trois heures de sommeil, mon réveil me tira de ce dont j'avais le plus besoin en ce moment : dormir, seulement dormir et encore dormir. Que faire d'autre ? Me lever pour travailler, aller faire les courses, ranger la maison, rendre visite à mon frère et... Et quoi d'autre ? Je n'avais rien. Pas de copain, pas d'enfant, presque plus de famille... Rien qui ne donnait un vrai sens à tout ça. Pourtant chaque matin je souriais, j'étais heureuse d'être là et de voir les gens que j'aimais. Puis au fil des heures la vérité me revenait en pleine face. A quoi servait tout ça ? Des journées semblables, rien d'intéressant, d'amusant... Néanmoins, je n'avais pas le droit de me plaindre. Mon père m'aurait dit que se plaindre ne changerait rien et que si je n'aimais pas ça, je n'avais qu'à m'activer pour que cela change. Comment ? J'allais trouver. C'est donc fatiguée, mais souriante que je m'étais levée ce matin. Je ne travaillais qu'une heure ce midi et j'avais ma journée de libre, avant de reprendre le soir. J'allais pouvoir sortir et en profiter un peu.

La journée se finissait tranquillement, j'avais fait les magasins sans rien acheter. Je reprenais le travail dans deux petites heures et rentrer chez moi maintenant serait stupide. A quoi bon rentrer pour repartir peu de temps ensuite ? M’apprêtant à changer de rue, mon regard croisa celui d'une jeune femme. Pas n'importe laquelle, celle que Josh était censé aimer. Oui oui, censé puisque je ne pouvais pas m'imaginer une seule seconde qu'il était sincère. Question de logique. Il y a quelques semaines, il disait m'aimer et là, il en aimait une autre. Soit pour lui aimer ne signifiait rien, soit il excellait dans l'art du mensonge. Peu importe. La voir, simplement la voir, pouvait m'énerver. D'ailleurs se fut le cas aujourd'hui. Faisant demi tour pour ne pas devoir lui dire bonjour, je revenais sur mes pas cherchant un endroit où me cacher. A quelques rues d'ici, je savais qu'il y avait la boutique où Amy travaillait et elle n'irait jamais là-bas puisqu'elle ne se dirigeait pas dans sa direction. Après tout, je pouvais rendre une petite visite à une amie.

C'est donc au bout de quelques petites minutes que j'arrivais là où Amy travaillait. Un coup d'oeil m'indiqua qu'elle était évidemment là. Je me dirigeais vers elle, l’enlaçant pour la saluer. Elle travaillait ? Et alors, j'avais le droit de lui passer le bonjour, non ? « Comment vas-tu petite Amy ? » Un regard autour de moi me rappelait où j'étais. Dans l'antre des monstres, autrement appelés : les chiens. Je détestais ces bêtes là et un frisson me parcouru rien qu'à l"idée que j'en étais entourée. « Toujours pas décidée à ne vendre que des poissons rouges ? Tu devrais, au moins avec eux on ne risque rien. »

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Aujourd'hui je commençais comme tous les jours à neuf heures. Donc sept heures debout. J'ai été boire un café et manger un croissant avant d'aller à la douche. J'aurais bien été chez Maxine pour prendre mon petit déjeuner, mais elle ne travaillait pas ce matin. Je venais de finir de prendre ma douche et j'étais donc allée me préparer, mais malchanceuse que je suis, j'ai glissé sur la savonnette et je suis tombée. Je m'étais relevée et ma chute m'avait laissé une belle trace sur le bras, un beau bleu. Mais un peu en colère car je venais de me faire vraiment très mal, j'ai quand été me préparer.

J'étais devant la porte de mon animalerie et j'étais un peu plus souriante qu'avant de partir. J'allais enfin retrouver mes animaux chéris. L'heure tournait et personne ne venait. J'étais toute seule en train de trier les boites pour chiens et celles pour chats que j'avais reçues la veille. Puis j'ai entendu une fille me dire Comment vas-tu petite Amy ?, il n'y avait qu'une seule personne pour dire ça, Maxine. Que venait-elle faire ici ? Elle avait peur des chiens. Je m'étais retournée et je lui avais souri. « Bonjour Maxine! Je vais bien et toi ? » Je ne savais pas trop quoi lui dire. On ne se connaissait que depuis peu. Je m'étais ensuite retournée de nouveau pour finir de ranger mes boites. Maxine m'a alors dit une phrase qui me faisait rire. « Nan, je ne suis toujours pas décidée à ne vendre que des poissons rouges. Par contre je pense ne vendre que des chiens, tu sais les monstres ? C'est sur qu'avec des poissons on ne risque pas de se faire manger tout cru » Elle me faisait rire, avoir peur des chiens, ces bêtes toutes gentilles et toutes mignonnes. Je m'étais ensuite dirigée vers la cour où était les chiens puis j'en ai pris un. Je l'ai posé à terre pour voir la réaction qu'allait avoir Max', j'avais juste envie de rire un petit peu.

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Me voilà dans la boutique d'Amy. Là où j'avais trouvé refuge après avoir vu la copine de Josh et pour l'éviter. La saluant, je lui demandais par la suite comment elle allait. Elle me retourna la question puis repris son rangement. Je tombais peut-être mal ? Après tout, elle devait avoir du travail avant la fermeture. « ça va, ça va. Je te dérange ? Je peux repasser plus tard si tu veux. » Il suffisait qu'elle le demande et je partirai. On pouvait se voir plus tard après tout. Pour rire, je lui fis une petite réflexion sur les chiens et les poissons rouges qui n'avait aucun sens. Entrant dans mon jeu, elle s'amusa à me faire croire qu'elle ne souhaitait vendre que des chiens désormais. N'oubliant pas d'utiliser mon expression favorite les qualifiant : les monstres. Pour simple réponse je lui tirais la langue, telle une enfant et lorsqu'elle commença à marcher, je la suivis sans trop savoir où on allait. Oh la... méchante, pour rester correcte. Elle savait que je détestais ces bêtes-là et elle me faisait peur, c'était dégueulasse de sa part. J'allais être obligée de lui en mettre une, je ne pouvais pas laisser passer ça. « Tu sais que c'est horrible ce que tu fais ! Les amis ne sont pas censés faire ce genre de choses. » M'éloignant d'elle et des chiens, je rentrais dans la boutique, me réfugiant près de l'entrée. Il n'y avait personne et comme je savais qu'elle ne tarderait pas à me rejoindre, je criais : « Tu veux que je t'aide à ranger ? Comme ça, tu fermeras à l'heure et tu seras tranquille. On pourra quitter rapidement cet horrible endroit et se balader. »

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J'étais dans ma petite animalerie en train de faire des rangements. J'étais toute seule, avant que Maxine arrive. Je rangeais encore, malgré que Maxine était là. Je ne pouvais pas trop me permettre de parler pendant une heure sans rien faire d'autre. Et en voyant ce que je faisais Maxine m'avait demandée si elle me dérangeait. « Mais non reste. Tu ne me dérange absolument pas. » Elle ne me dérangeait absolument pas c'était juste que je devais finir avant la fermeture. Et puis avoir de la compagnie c'était bien. Je savais qu'elle avait une peur folle des chiens. Je voulais m'amuser un peu alors je suis allée chercher l'une de ces merveilles et Maxine m'a suivie sans savoir où elle allait. Maxine m'a donc dit "Tu sais que c'est horrible ce que tu fais ! Les amis ne sont pas censés faire ce genre de choses." Je m'étais mise à rire et j'ai ensuite reposé ce petit chiot dans la cour. Je l'ai ensuite vue se diriger vers l'entrée de la boutique. Quelle peureuse celle-là ! Elle m'avait ensuite demandée si je voulais quelle m'aide à ranger. Je n'étais pas contre. « Si ça ne te déranges pas, je veux bien que tu m'aides à finir de ranger. Et comme tu dis on ira se promener et laisser mes monstres. Tu préfères rentrer les chiens ou m'aider avec les cartons ? » Je savais très bien ce qu'elle allait me répondre, mais je disais ça pour rire et pour la taquiner un peu. Sans attendre sa réponse j'ai commencé à me diriger vers la cour ou se trouvait les chiots pour les rentrer.

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Je ne la dérangeais pas et dans le fond, heureusement. Je me voyais mal partir maintenant, alors que je venais tout juste d'arriver. Surtout que c'était l'occasion de se voir et de parler un peu, autant en profiter non ? Après sa "blague" avec le chien, je retournais dans la boutique pour lui proposer mon aide. L'aider à ranger ne me dérangeait pas du tout du moment que je restais loin des chiens. C'était ma seule condition, je pouvais tout faire sauf ça. Sur cette Terre, il n'y a pire invention que les chiens et les insectes. Je les déteste et j'assume parfaitement. Bref, elle accepta mon aide en me laissant le choix, la réponse était pourtant plus qu'évidente et elle le savait. C'est pourquoi elle n'attendait même pas la réponse avant de repartir vers la cour. Je criais alors qu'elle était dos à moi, proche de la cour : « Pourquoi me poser la question si tu ne me laisses pas répondre ? » Je riais. Me poser la question n'était qu'un moyen de rire et je le savais tout comme elle connaissait ma réponse.

Voilà, j'avais terminé de ranger toutes ces boites. Je pensais ne jamais en voir la fin et finalement si. « Voilà mademoiselle, j'ai terminé et il est presque l'heure de fermer si je ne me trompes pas. » Dis-je tout en m'approchant d'elle. Je m'appuyais contre me mur, tout en la regardant. « Alors, quoi de neuf pour toi ma petite Amy ? Il doit se passer des choses dans ta vie depuis qu'on ne s'est pas vues ? »

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J'étais dans mon animalerie, au travail. Heureusement, je n'étais pas seule. Maxine était là elle aussi. J'allais pouvoir l'embêter un peu. D'ailleurs c'est ce que j'ai fait. Cela ne faisait pas longtemps que Maxine était dans la boutique avec moi, mais elle n'allait pas tarder à devoir y aller. Pas parce-que j'allais lui dire de partir non, tout simplement car la boutique allait fermer. La jeune femme m'avait gentiment proposée son aide, je n'ai bien sur pas refusé. Un peu d'aide n'a jamais fait de mal, au contraire. Je lui ai ensuite demandée si elle préférait rentrer les chiens ou ranger les boites, je savais ce qu'elle allait me répondre, mais voilà. Donc sans attendre sa réponse je suis partie dans la cour où se trouvaient les chiens. Maxine m'a demandée pourquoi je lui posais la question si je ne la laissais pas répondre. « Je suis voyante et je sais la réponse une fois la question posée. » Je l'entendais rire, donc moi aussi je me suis mise à rire. Je venais de finir de rentrer les chiens et de les nourrir. Maxine elle, elle avait finit de ranger toutes les boites. «Merci Max'. Et heu... Oui il reste encore une dizaine de minutes avant la fermeture. » Je me suis ensuite dirigée vers la porte de la cour pour la fermer à double tour et j'ai fermé tous les stores. J'avais une cafetière et des paquets de cadeaux dans la pièce à coté et j'avais envie d'un bon café chaud justement. J'attendais encore un peu avant d'aller m'en chercher une tasse. Maxine m'a ensuite demandée s'il s'était passé des choses dans ma vie depuis que nous ne nous étions pas vue. « Alors tout d'abord je ne suis pas petite, ensuite non rien de nouveaux dans ma petite vie. Et toi des choses nouvelles depuis la dernière fois ? » Après avoir dis ces quelques mots, je me suis mise à faire un large sourire. J'ai ensuite ouvert la porte qui menée à ma caverne d'Ali Baba et pour ne pas que Maxine reste seule ici, je lui est fait signe de me suivre. « Tu veux une tasse de café ou bien des petits gâteaux , ou même les deux ? » J'avais des conversations très intéressantes "café" et "gâteaux". Enfin voilà quoi ...

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Après avoir échangé quelques mots, je lui proposais mon aide pour le rangement. A deux nous irions beaucoup plus vite et elle serait donc débarrassée du travail plus rapidement. J'avais terminé, elle avait terminé, je demandais donc confirmation pour l'heure de fermeture. A peine une dizaine de minutes, je le savais. Échangeant quelques mots, j'en venais à lui demander s'il y avait de nouvelles choses dans sa vie. Amour ? Argent ? Famille ? Enfin, tout ce qui pouvait être intéressant et nouveau. « Tu n'es pas très grande non plus, PETITE ! » Gamine, comme toujours, je reprenais plus sérieusement pour répondre à la suite de sa phrase : « Rien, rien, rien et rien. AH SI ! Ce matin, je me suis étouffée avec un chocolat et hier, j'ai mangé un truc que j'ai fait moi-même, j'ai failli mourir tellement c'était dégueulasse. » Bah quoi, c'était des choses nouvelles dans ma vie, on s'en foutait peut-être complètement, mais au moins ça l'était.

La demoiselle se dirigeait vers une porte en me faisant signe de la suivre, sans broncher je la suivis, sachant ce qui se cachait derrière cette porte. Levant les yeux, un petit sourire d'enfant sur les lèvres, je répondis « Les deux ! Sans vouloir paraitre gourmande ou je ne sais quoi bien sur. » M'asseyant sur la table - oui je n'aimais pas les chaises - j'ajoutais : « Après tout, je t'ai aidée tu me dois bien ça, plus un chèque, plus un resto', plus une boite de chocolat, plus la nouvelle jupe que j'ai vu dans une vitrine en me promenant tout à l'heure. » Évidemment, je n'avais pas dans l'intention de la dévaliser, je disais ça pour rire, elle le savait. Quoi que pour la boite de chocolat, je n'étais pas réellement contre.

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Maxine était plutôt gentille de me proposer son aide. Elle n'était pas obligée. Je ne l'ai bien sur pas refusée. Elle devait finir de mettre les boites qui étaient dans le carton, en rayon. Et peu de temps après, elle avait rangé les boites et moi finis de rentrer tous les animaux. Maxine m'a ensuite demandée l'heure de fermeture, elle la connaissait, je pense que ce n'était que pour confirmer ce qu'elle pensait. Je lui ai donc dit qu'il restait environ dix petites minutes. Max' m'a ensuite demandée s'il y avait des choses nouvelles dans ma vie, je lui avais répondu que non et je lui ai retourné la question. Et je la taquinait comme toujours... Quand elle a prononçait le mot " Petite " bien fort, je me suis mise à rire, d'un rire discret. C'était pas vraiment des choses nouvelles dans sa vie car ça lui arrivait tout le temps, mais bon. « Ça ne m'étonne même plus, toi et les conneries vous êtes meilleures amies. Non ? En plus de ça le chocolat il faut le mâcher avant de l'avaler et tu sais très bien qu'il ne faut pas que tu manges quelque chose qui a été préparé par toi. » Je rigolais même si je savais qu'elle n'était pas bonne cuisinière. Moi non plus je n'étais pas parfaite question cuisine, mais je savais faire quand même des trucs à manger.

Je suis ensuite partie dans la pièce d’à coté, surnommée " La caverne d'Ali Baba ". Pourquoi ce nom ? Tout simplement car plein de choses, des biscuits, un réfrigérateur, une cafetière, de la vaisselle ( des tasses )... J'ai fait signe à Maxine de me suivre. Je lui ai ensuite demandé si elle voulait boire un café, manger des gâteaux. Avec un sourire elle leva la tête en me disant qu'elle voulait les deux. Cela ne m'aurait bien sur pas étonnée. «J'aurais dû savoir que mademoiselle la gourmande aurait voulu du café plus des petits biscuits. Alors choisis les biscuits que tu veux et sers toi. Moi je te donne ta tasse de café. Avec du lait ? Combien de sucres ? » Curieuse, non. Je me renseignais juste sur ce qu'elle voulait pour ne pas lui servir un café dégueulasse, alors qu'hier elle avait mangé quelque chose qu'elle avait préparé. Maxine s'est ensuite assise sur la table, je n'ai bien sur rien dit, car je savais très bien qu'elle ne voulait pas s'asseoir sur une chaise, elle était sûrement folle. Et la chère demoiselle finit par me dire " Après tout, je t'ai aidée tu me dois bien ça, plus un chèque, plus un resto', plus une boite de chocolat, plus la nouvelle jupe que j'ai vu dans une vitrine en me promenant tout à l'heure. " . Elle me faisait bien rire. Elle voulait tout ça, enfin je savais très bien qu'elle rigolait quand elle me disait ça, si elle voulait vraiment ce qu'elle disait là je pouvais lui acheter. « Écoute si quelque chose te ferais vraiment plaisir dis le moi je me ferais un plaisir de te l'offrir.» Je lui avais dit ça avec un grand sourire, mais j'étais très sérieuse...

Spoiler:

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Nous étions toutes les deux dans ma boutique. Nous avions fini de ranger et de rentrer les bêtes. Quelques secondes après nous sommes passées dans la pièce à côté. Il y avait une cafetière pleine qui avait été faite il n'y a pas longtemps. J'ai donc sorti deux tasses de mon placard. Pendant que la miss à côté de moi était assise sur la table, ce que je n'aimais pas vraiment, mais je ne lui disais rien. Elle mangeait des gâteaux sans même les avoir trempés dans son café. Forcement, elle ne l’avait pas encore. Je me renseignais sur la façon dont elle buvait son café. Deux sucres et pas de lait, comme moi sauf que je ne mets qu'un seul sucre. La bouteille de lait remise au frigo et les deux sucres mis dans la tasse, une cuillère pour touiller, et je donnais la tasse à la gourmande. « Tiens ton café. Prend autant de gâteaux que tu veux. Et si tu veux autre chose sers toi, fais comme chez toi. » J'achetais tout le temps des biscuits, au cas où j'avais un petit creux, mais à chaque fois c'était Maxine qui me les mangeait. Je venais gentiment de lui proposer, de lui acheter quelque chose et elle tout ce qu'elle me dit c'est que je devais me racheter des vêtements avec cet argent. « Mais tu n'es pas sympa je suis très bien habillée. » Je savais qu'elle rigolait. Moi je la taquinais un peu... Nous avions discuté, pendant un long moment, nos tasses était vide et on ne savait plus vraiment quoi dire. Maxine venait de me dire que pour me remercier de lui avoir offert un café elle allait m'inviter à manger chez elle, mais manger quelque chose qu'elle avait préparée. Hum, non merci. J'avais changé de tête quand elle m'a dit ça, mais quelques secondes après elle me dit qu'elle rigolais. « Tu es gentille, je ne vais pas mourir maintenant c'est déjà ça. C'est gentille de ta part, j’accepte l'invitation. Et sache que cette endroit n'est pas sombre, humide, dégoutant et horrible, comme tu le prétend. Allé viens on y va. » J'ai pris mon manteau mes clé, étend les lumière, fermais les portes à clé et nous sommes partit...